Planche-contact de la rubrique « Chorales et théâtre »

La Clé des Chants - week-end de travail avec Sophie

Le dimanche, la chef est détendue.
Les choristes aussi sont détendus, surtout les sopranes autour d'Élodie.
Sur son faire-part de naissance, il était écrit qu'Élodie sera musicienne si elle veut : je crois qu'elle veut...
Pas de morosité à craindre non plus chez les altos.
Comment pourrions-nous être tristes, quand on voit le rayon de soleil permanent qui illumine le visage d'Yveline ?
Pouponnons en choeur...

L'ensemble vocal Joyeuse Lumière... ou plutôt l'ensemble vocal de Saint-Gervais... je veux dire l'ensemble vocal Jubilate Deo... enfin l'EVJL quoi !

Week-end de l'ensemble vocal Jubilate Deo. Parmi tous les enfants présents, il y a deux bébés encore plus jeunes qu'Élodie.
La fille de Claire et François : Blandine.
La fille de Cécile et Laurent : Ludivine.
Répétition du matin.
« À la soupe  ! »
Le cadeau de Ludivine pour les déplacements : un lit pliant.

Répétition de théâtre

Liliane et Marie-Agnès jouent deux médecins : Tomès et Des Fonandrès.
Marguerite joue un troisième médecin : Macroton.
Denis, quant à lui, joue à l'imbécile.
En fait il joue aussi un médecin, et même deux : Bahys, puis Filerin.
À presque un an du premier spectacle, on sent qu'il y a encore pas mal de boulot.
Tu en penses quoi, Michel ?
Ah bon ? C'est si terrible que ça ?
Aïe aïe aïe...
Heureusement, il y en a au moins un qui a l'air confiant.
Le reste du choeur revient de répéter dans une salle voisine.
Élodie est toujours aussi passionnée de partitions et autres papiers.
Muriel a réussi à sauver celui-là, mais pour combien de temps ?

Répétition Purcell-Pécou au théâtre de Saint-Quentin

Sur la scène presque vide du théâtre de Saint-Quentin, les choristes arrivés en avance se mettent en place pour la répétition.
Dernières vérifications concernant la partition.
À l'heure dite, on commence...
... avec la chorale au grand complet, ou presque.

Week-end de théâtre à Brioude

Les 24 et 25 novembre, presque tout le groupe des Éphémères se retrouve à Brioude dont voici la belle basilique Saint-Julien.
Juste à côté de l'église, Michel et Marie-Agnès ont restauré une vieille maison, en mettant le plus possible en valeur les pierres existantes. Voici la porte d'entrée.
Cette porte donne sur une petite cour.
Après avoir acheté deux maisons mitoyennes pour en faire une seule, Michel s'est aperçu qu'à l'origine les rez-de-chaussée communiquaient déjà. Cette arche a été démontée pierre par pierre pour consolider le passage, puis remontée à l'identique.
Ce n'étaient pas seulement deux maisons qui communiquaient. On voit ici une deuxième arche : il s'agissait probablement d'une enfilade de boutiques.
Ne pouvant trouver une cheminée d'époque, Michel et Marie-Agnès ont fait le choix d'une cheminée résolument moderne. Personnellement je la trouve superbe.
Avant de commencer le travail, un bon petit-déjeuner s'impose.
En premier lieu, le metteur en scène nous fait travailler des improvisations muettes.
Bien que ne devant pas faire partie du spectacle (les dates de représentation sont trop proches de la date prévue pour l'accouchement), Marie-Christine participe bien volontiers à ces impros.
Ensuite, on joue toutes ces mini-scènes en même temps. Au début cela fait un peu fouillis.
Mais très vite tout cela s'organise. Sans le savoir, nous venons de mettre en place un élément important de la première partie de l'Amour-Médecin !
Autre travail : jeu en situation avec un texte. Patrick et Michel jouent deux hommes qui se retrouvent sans se souvenir d'où ils se connaissent.
Suit un impromptu de Obaldia. Cécile et Simone jouent respectivement une Julie et une Madame de Crampon très convaincantes...
... très drôles aussi, si l'on en juge par les réactions de l'assistance.
Lors du repas, pris tous ensemble, on parle de ce qui s'est passé le matin, ou bien de toute autre chose.
L'essentiel est de ne jamais oublier de s'amuser.
Le soir, tous ceux qui le voulaient (c'est-à-dire tout le monde) ont joué à un jeu basé sur le théâtre, Comédia.
Ici, je devais lire un texte, en y mettant l'intention de mon choix. J'ai feint de me délecter à l'idée des atrocités du texte imposé...
... il s'agissait du troisième couplet de la Marseillaise.
Je n'ai pas tout filmé (en particulier il manque l'épisode mémorable du poisson pané), mais voici quand même Marie-Agnès et Brigitte sur la plage...
... une fois tartinées de crème solaire, elles sont prêtes à draguer les beaux mecs...
... en route pour la phase de séduction !

Atelier couture

Pour confectionner les costumes de la pièce l'Amour Médecin, Muriel a organisé un atelier clandestin dans la maison des chorales.
Pratiquement tous les acteurs participent aux travaux de couture, aidés par quelques sympathisants.
Il y a de quoi faire : découper...
... coudre...
... piquer à la machine...
... et rigoler, bien sûr.
Il y a même un concours de lancer de boutons, sous l'oeil admiratif de Patrick et celui, plus perplexe, de Cécile.
Muriel ayant fait énormément de travail préparatoire, cela va vite. Voilà déjà Denis en médecin, avec sa collerette.
Admirez aussi la belle robe de Simone dans le rôle de « la Musique » ou « la Danse ».
Elle est aussi belle de dos que de face.

Répétition en costumes à la salle Jacques Brel

Pour cette répétition de l'Amour Médecin à la salle Jacques Brel, la plupart des comédiens sont en costumes.
Puisqu'il s'agit d'une comédie-ballet, il y a bien sûr du chant...
... et de la danse (danse baroque comme il se doit).
Lucinde, fille de Sganarelle, voudrait épouser Clitandre, ce qu'elle confie à sa femme de chambre, Lisette.
Pour son malheur, Sganarelle est prêt à tout donner à sa fille, sauf un mari.
La pièce, commandée à Molière et Lully par le Roi, se devait de ridiculiser les médecins.
Et en effet, des médecins il y en a, ridicules à souhait.
Même Clitandre se fera passer pour un médecin afin de tromper Sganarelle et d'épouser Lucinde. Comme toujours chez Molière on peut s'attendre à un dénouement heureux.

Nouveau week-end de théâtre à Brioude, novembre 2002

Improvisations, puis expression de trois sentiments.

Samedi matin, nous commençons la journée (et le week-end) par deux improvisations. Ici, Alexia joue la patronne d'un café dans lequel viendront plusieurs clients, plus ou moins fréquentables.
Là, Michel est le chef de gare dans une station de métro...
... il y viendra des musiciens, ainsi que plusieurs voyageurs, mais le métro n'arrivera jamais.
Après les impros, l'exercice proposé consiste à exprimer trois sentiments. D'abord la joie...
... puis la tristesse...
... et enfin la douleur ou la souffrance.
En ne gardant que les expressions de joie, cela me permet de jolies photos. Voici Alexia.
Estelle.
Clémence.
Patrick.
Cécile.
Nathalie.
Marie-Christine.
Encore Marie-Christine. Oui, je sais, elle a droit à un traitement de faveur. C'est comme ça.
J'y suis aussi. Il n'y a pas de raison.
Voilà enfin nos hôtes : Michel...
... et Marie-Agnès.

Daphné fait de l'escalade.

Depuis un mois, quand elle avait sept mois et demi, Daphné est une grande aventurière : à quatre pattes elle se balade partout, et avec rapidité.
Depuis peu elle sait même se mettre debout toute seule, pourvu qu'elle trouve quelque chose pour s'y cramponner. Autant dire qu'un tabouret est une merveille qui l'attire comme un aimant.
Ce qu'elle n'avait pas encore fait, c'était grimper les escaliers. Son cousin Thibaud les grimpait à l'âge de sept mois, mais je trouvais qu'il était un peu jeune pour ça et j'espérais que Daphné ne voudrait pas trop vite rattraper son « retard ».
Eh bien à huit mois et demi, c'est fait. La première des deux marches vient d'être franchie avec succès.
Un rétablissement sur ses pieds, et elle va bientôt franchir la deuxième marche.
À partir d'ici j'ai cessé de filmer car j'avais quand même un peu peur, mais je peux vous assurer qu'elle est bien allée jusqu'au bout.

Répétitions de la pièce « La nuit des rois »

Acte I scène V
Avec des clés en plastique en guise de grelots, Cécile joue Feste, bouffon d'Olivia, ici avec Marie-Agnès dans le rôle de Maria.
Jouant de sa prétendue folie, Feste est en réalité le sage qui aide Olivia (Alexia) à faire la part des choses.
« Qu'on l'emmène ! Plus de fol ici ! » avait ordonné Olivia à ses gardes. C'était compter sans l'ingéniosité du fou...
En jouant habilement sur les mots, Feste prouve que c'est Olivia qui est folle et qui doit donc être emmenée par les gardes.
« Qu'on l'emmène ! Plus de folle ici, messieurs ! »
Acte III scène IV
Après avoir tenté de défendre Viola qu'il prend pour Sébastien, Antonio (Thomas) se laisse arrêter par deux officiers du duc Orsino.
Acte II scène V
Prenant lui-aussi Viola (Valérie) pour un homme, Orsino (Philippe) lui confie ses sentiments et ses passions, qu'il s'agisse de musique ou d'amour.
La situation est particulièrement difficile pour Viola : elle, qui voudrait épouser le duc, le voit amoureux fou d'une autre, et elle ira même l'aider à faire la cour à sa rivale !
Curio (Patrick) est au service du duc.
Acte II scène V
Malvolio, joué par Marguerite, est l'intendant d'Olivia.
Une tromperie concoctée par Maria nourrit ses fantasmes de grandeur.
Pendant ce temps, derrière le buisson, les compères de la farce n'en perdent pas une miette : moi dans le rôle de Tobie Rotegras...
... Denis dans le rôle d'André Grisemine...
... Clémence dans le rôle de Fabien...
... et Élodie dans le rôle de... euh... non, rien.

Exercices sur le thème « Amour et Guerre »

Dimanche après-midi, nous travaillons sur divers textes. Ici, Cécile et Denis jouent une scène de Roméo et Juliette.
Encore Roméo et Juliette, avec cette fois Marguerite et Patrick. Il n'est pas toujours facile de garder son sérieux sur les scènes d'amour !
Philippe et Estelle, dans Sorenzo et Anabella, ont ici hérité de la partie « guerre » du double thème choisi par Michel.
Tous deux étant nouveaux dans la troupe, Michel s'inquiète de savoir comment Estelle, dont c'est la première expérience de théâtre, va répondre à Philippe, qui joue son rôle à fond.
Quant à Nathalie, dans la même scène, personne ne se fait de souci pour elle : elle répond à Patrick avec autant de violence !
Retour à l'amour, et même l'amour-passion, avec Marie-Agnès dans le rôle de Phèdre.
Complètement dans son rôle elle aussi, elle semble prête à violer Hippolyte, joué par Philippe.
Apparemment Hippolyte n'est pas d'accord. Tant pis !

Les spectateurs

Valérie.
Encore Valérie.
Michel.
Patrick.
Philippe et Nathalie.
Clémence (Thomas au second plan).
Estelle (Clémence au second plan).
Marguerite.
Marie-Agnès.
Cécile.
Toujours Cécile.
Thomas, Catherine et Valérie.
Marine.
Sabine.
Pierre et Sabine.

Philippe joue de l'alto

Estelle vient de nous demander si quelqu'un voulait essayer son alto. Ravi de l'occasion, Philippe se précipite.
Bien que n'en ayant jamais joué, il est drôlement doué, le bougre ! D'ailleurs il n'a même pas besoin de regarder Estelle pour avoir le bon geste.
Et en plus, ça marche : dès la première note le son est vraiment très joli.
Un peu de concentration, et Philippe nous interprète un « Au clair de la lune » très convaincant.
Et voilà !
Je crois que nous devons tous des remerciements, aussi bien à Estelle qui a bien voulu prêter son instrument, qu'à Philippe qui a osé essayer.

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